Couillu comme plan

Voilà j'ai passé le Douro le Potugal , et je suis en Espagne , mais non sans mal .

Je connaissais Pinhao Fermoselle , mais avant Pinhao c'est pentu et après aussi, limite tendinite, en plus pas de camping , a part celui de San Jao de la pesquera.
Une photo de la caserne des bomderos .
Une mention particulière à la charmante hotesse d'accueil, qui me feraa même visiter le camping , petit oubli de sa part, une soirée eeptionelle sera organisée à la caserne de bomberos qui jouxte le camping, détail amusant la sono est d'une puissance incroyable, heureusement que j'avais l'intention de passer la nuit à écouter de la musique .
Enfin j'exagère à 04h00 du matin il n'y avait presque plus de bruit , à 5 Euros on va pas se plaindre .
Donc je grimpe à ne plus en finir , je bifurque sur la Barca D'ala et finalement trouve un accès direct à l'espagne par un barrage , et là ça commence vraiment à grimper...
Je péte un cable et accroche le hamac dans un virage (à l'abris des regards) tente de dormir un peu, le vent se lève ,

fatalitas, je repars . j'arriverais tant bien que mal en haut pour finir à un triste village où tout est fermé sauf un petit bar avec des mini bièrres, donc mini moral et je repars .

En direction deLumbrales, et làn que des propriétés privées cloturées nsur des dizaines de km, je suis exténué, je trouve une aire de repos avec fontaine (un 4 étoile) je m'y installe, j'ai pris de mauvaises habitudes au Portugal, je ne me cache pas .
Le temps de manger faire un petit dodo et réveil avec la police et ses guirlandes.
Dans le gaz quand on me demande d'où je viens je répond Maroc, mauvaise réponse, contrôle de papier, la cni ne suffit pas , coup de bol j'ai permis et passeport, après une bonne demi heure mes pamiers me sont restitués avec un good night de la policière, je me rendors aussi sec sur la table de la photo .

Le lendemain je me dis le plus dure est fait, ça va descendre jusqu'à Zamora, mauvaise pioche ... essaye encore .
Sur la photo c'est un bivouac type "planque" je viens de passer Ledesma , je suis en "pyjamas" pentalon vert et tee shirt camou, et je croise la guardia civile, qui bien sure me filoche .
Je bifurque tape l'accéleration en côte, file direction Zamora , un creux à gauche mais pas terrible, je commence à grimper, j'aurais pas mieux, et la guardia va revenir ...

Je remonte plein pot m'engoufre dans le creux à gauche, qui est devenu à droite ,et me cache derrière un rocher , j'aime la police mais à petite dose ...
 Evidement pas un arbre, la Stratosphère va entrer en action, comme d'habitude je mets  trois plombes à trouver l'ordre des piquer en tendant à mort le tissu, si ça c'est pas être gland ...
 Enfin nuit très fraîche , condensation maximale, mais jai dormis au chaud .
Au matin un café m'aidera à commencer la journée avec un joli passage à 930 métres .

C'est un plateau gigantesque où l'on n'arrête pas de monter et descendre de 600

à 900 métres, je suis à 30 km de Valladolid et ça continue ...
Concernant les coto privada de caza, c'est taquin, j'ai bivouaquer dans unsite pourri faute de mieux, le lendemain je roule trois km , et trouve des forêts à perte de vue .
Donc c'est réglé, le bivy va bosser, pour le monter hyper simple , (voir photo) vert devant, c'est tout .
Sur des mono paroi la condensaion est inévitable, mais en cette saison c'est pas grave sur deu ou trois jours il y aura toujours le rayon de soleil suffisant .
L'important est  d'être FOMEC, sinon c'est police nocturne, le bivy est indetectable, le hamac à peine plus, c'est le vélo la remorque ou moi qui se font repérer .